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 EDITO :
Bienvenue sur le site de la Famille De Clèves, que vous pouvez retrouver sur l'exellent shard UO Zyx !



 Background des personnages :

BG Dorgan De Clèves:

C'est dans la Comtée de Clèves que je naquit il y a de cela 19 printemps... ou plutôt 19 hivers, ce qui s'appliquerait plus à Clèves. Ainsi donc, je suis né à Clèves, fils du Comte de Clèves et frère d'Honoré et de Félix.

Mon enfance est une enfance que l'on peut qualifier de normale. Etre le fils d'un Comte ne m'a rien apporté de plus que la fierté qui va avec. J'ai été éduqué comme tout enfant, j'ai appris la bienséance comme tout enfant. J'ai vécut comme tout enfant...
Mais vivre à Clèves m'a donné la possibilité d'apprendre beaucoup de choses. De part la fréquence des combats à Clèves, en effet, beaucoup d'animaux terribles s'y complaisent, j'ai pu apprendre dès mes 10 ans à tenir une épée et à la manier comme un vrai guerrier. Dès 12 ans, je commencais à me spécialiser pour devenir Chevaucheur. J'appris à soigner les chevaux, à les comprends, mais aussi à ne faire qu'un avec eux, sachant qu'une complicité entre ma monture et moi, me faciliterait les combats et me permettrait de servir au mieux l'Empereur.
Mais je n'ai aucun mérite à cela... beaucoup des habitants de Clèves savent se défendre et attaquer au besoin.

Comme tous ceux de Clèves, je suis l'enseignement de Zhel et suis adepte de la Droiture, de l'Ordre et de l'Empire. Comme tout le monde, enfant je rêvais de m'enrôler dans la Légion... aujourd'hui j'en ai encore envie, mais cette envie s'estompe avec l'âge. Je ne sais pas pourquoi. Sans doute parce que j'oublie mes rêves d'enfant, ou peut-être se réalisent-ils ?

Comme je l'ai dit, je suis un homme d'honneur. On peut dire que je suis toujours prêt à défendre la veuve et l'orphelin. Un autre point qui peut être fort auprès de ces Dames, c'est la courtoisie. En effet, d'un naturel galant, je m'efforce de suivre l'enseignement courtois et bienséant que l'on m'a inculqué dans ma jeunesse.
Loyal, je sais qui sont mes amis et qui ne le sont pas. Avoir confiance en moi est une valeur sûre, dans la limite de mes propres limites... Ma loyauté s'exerce avant tout sur ma famille, mes amis et enfin l'Empire, cet Empire que je m'efforce de défendre et dont je me sacrifierai volontiers pour sa continuité et sa prospérité.

On peut me reprocher ma curiosité et mon côté aventurier. J'apprécie vraiment de parcourir des kilomètres sur ma monture, sentir le vent dans les cheveux, cette sensation de ne faire plus qu'un avec la Nature... D'autres défauts ? Sans doute... parmi eux on peut mettre en avant mon côté rêveur qui me joue parfois bien des tours !

En un mot, famille, Empire et amis forment un axe tout autour duquel je tourne, m'efforcant de me donner un maximum pour ceux qui font que je suis celui que je suis aujourd'hui.



BG Honoré De Clèves

Honoré est l'aîné de la famille de Clèves. Ses parents décidèrent de l'appeler ainsi, puisque étant leur premier enfant, ils en furent honorés.. Son père étant le Comte de cette ville, il eût une enfance paisible, ayant tout ce qu'il voulait sans jamais demander quelque chose d’irraisonnable. Sachant que son père avait une grande fortune, Honoré pensait toute son enfance qu'il n'aura pas besoin de travailler et ne sortirait jamais de sa propriété de sa vie. Mais plus les jours passèrent, plus le petit Honoré s’embêtait dans sa demeure.
Un jour il descendit du sommet de Clèves ou il vivait et alla voir le peuple de Clèves. Il salua tout les passants qui ne savaient comment réagir n'étant pas sur de la personnalité du jeune homme. Alors qu'il passait toute sa journée dans la ville, il rencontra sa future femme, Malosa. A peine se croisèrent-ils, que Honoré se voyait déjà vivre avec elle pendant de longues années.
Honoré et Malosa restèrent toute leur jeunesse ensemble, c'était les meilleurs amis du monde. Mais pour eux, il y avait bien plus que de l'amitié. Honoré demanda la main de Malosa, qui n’était qu'une fermière, mais les de Clèves se comportaient comme tout citoyen et ce mariage ne posait pas de problème au Comte.

Honoré fut heureux pendant quelque mois mais fut attristé après le départ de Dorgan, Félix (leur plus jeune frère) et de celui de nombreux de ses cousins et cousines, pour Cicéron. Les trois frères étant très proches, Honoré ne pouvait plus résister à l’envie de les rejoindre. Honoré partit quelques semaines après ses frères vers Cicéron laissant sa femme à Clèves, mais elle lui promit qu'elle le rejoindrait.

Arrivé à Cicéron, Honoré ne savait pas faire grand chose de ses mains. Il rencontra un Nibelung en Cicéron qu'il lui annonça qu'il avait des mains de forgeron. Honoré fut d'abord très surpris car il savait a peine en quoi consistait le métier de forgeron. Ses parents lui avaient enseigné l'égalité entre tous hommes et femmes, mais il ne pu s'empêcher que se job était un métier de second ordre. Mais son nom à Cicéron avait autant de valeur qu’un autre, et lorsqu'il regarda par deux fois le Nibelung, il lui demanda de lui enseigner ce métier. Le Nibelung, rieur, fut heureux de lui enseigner son savoir. Apres 1 semaine d'apprentissage, Honoré connaissait les bases de la forge, et le petit Nibelung rentra a Nibalok.
Honoré fut fier de son métier, et remarqua très vite qu'il rapportait beaucoup d'argent ce qui l'aida a être plus dépendant de ses parents mais il pouvait également forger des armures à sa famille gratuitement, car il aime faire plaisir a ceux qui comptent pour lui. Par la suite, il engagea William, qu'il paya honnêtement pour qu'il mine a sa place… Un début de grand commerce commença entre ces deux Lansfals...


BG Féralus De Clèves

Il y a de cela 17 Printemps, Feralus connut le monde des vivants dans une menuiserie située dans la contrée de Clèves, une menuiserie dirigée par le plus grand menuisier de la régions, Feralax de Clèves. Tant qu'a sa mère, et bien, elle mourut hélas lors de la naissance du petit Feralus. Mais Plusieurs années avant elle avait accouché d'un jeune homme nommé Gylnor, son frère unique, ainsi que d'une fille nommée Gabrielle.

Feralus fut donc élevé dans la menuiserie de son père jusqu'a l'âge de 13 ans lorsque son père disparus on ne sait hélas ni pourquoi, ni comment. Suite à cette tragédie il essaya de faire continuer à marcher la menuiserie avec son frère, mais il n’en fut pas capable. Son frère partit un jour accompagné de sa soeur et Feralus se retrouva alors seul dans la menuiserie. Il décida donc de partir en quête d'un endroit où vivre avec quelques provisions et une bourse contenant les pièces qu'il avait obtenus en vendant la menuiserie.

Mais pendant les 13 printemps passé avec son père il avait appris tout ce qu'il devait savoir. Premièrement, il avait appris a survivre dans les contrées de Clèves, car dans ses endroits quelques créatures menaçaient les habitants et il ne pouvait qu'être utile que de savoir se défendre. Feralus appris ensuite comment faire de la menuiserie mais pour cela il lui fallait faire son propre bois. Il alla donc en forêt avec son père pendant 2 printemps pour apprendre comment bien bûcher. Après les 10 années d'apprentissage que Feralus a passées avec sont père ils a appris les valeurs familiales, l'honneur, qui devait toujours régner car "sans honneur un homme n'en est pas un" comme son père lui répétait souvent. Il avait aussi apprit la courtoisie, qui était un atout à tout hommes. Que ce soit pour les femmes, sa famille ou ses amis Feralus était toujours courtois.

À 13 Ans, Feralus arriva donc à Cicéron. C'était la plus belle ville qu'il avait visitée suite à sa quête qui dura environ 4 ans. Il n'y avait qu'un seul problème, Feralus ne connaissais rien du tout à cette ville si unique. Il ne connaissait l'emplacement d'aucun magasin, il ne connaissait personne, mais il découvrit rapidement l'endroit si sympathique. Après quelque temps il connaissait presque tout de Cicéron et il rencontra même ses 3 cousins si aimés de lui ainsi que sont frère qu'il avait perdu quelques années auparavant. Mais il ne revu hélas pas sa soeur.

Feralus connaît donc plusieurs choses, mais les principales choses dont il a besoin son ses amis, sa famille et son travail, un travail dans lequel il essaie de percer après tant d'années de pratique.

Sa famille ne le connaissait pas très bien de par sa longue absence depuis ses 13 ans, mais lorsqu’ils le retrouvèrent, ils s'habituèrent cependant bien vite au style de vie singulier de ce cher Feralus De Clèves, menuisier.



BG Shanen De Clèves:

Il y a de cela vingt-cinq hivers, je naissais dans la Comtée de Clèves. Ma mère, sœur du comte de Clèves, était alors âgée de seize ans. Malgré leurs jeunes âges, mes parents firent tout ce qui était en leur pouvoir pour aimer et chérir leur premier enfant. J’avais hérité, disait-on, des cheveux ébène de mon père et des yeux azur de ma mère. La blancheur de ma peau contrastant parfaitement avec le rouge vif de mes lèvres.

Ainsi donc je grandis au sein de la communauté de Clèves, entourée de parents et amis. On aurait pu croire qu’avec mon caractère fort et déterminé, ma rigueur et mon acharnement, que j’étais destinée (comme plusieurs enfants de Clèves) à une carrière guerrière. Je n’y étais absolument pas résolue, détestant le toucher froid et dur d’une arme ou d’une armure. Je me contentais de prendre soin de mes frères plus jeunes comme le ferait une mère. De mon côté, j’étais plutôt intéressée par la force de l’esprit, par l’autorité et l’ordre. Il n’était pas rare de me voir, livre à la main, m’occuper des diverses tâches pendant que les autres s’amusaient et jouaient. Je n’étais et ne suis pas du genre à prendre la vie pour une partie de plaisir, l’abordant d’un point de vue plus strict et discipliné.

Portant en mon sein un dévolu total pour le Zhel, Kordaken et Cylia, les autres adultes étaient souvent surpris de la maturité que je dégageais et du sérieux dont je faisais preuve. J’étais aussi très attiré par la loi, la juridiction. Habituellement neutre dans les conflits, je prenais plaisir à déterminer les conséquences et à défendre mon point de vue. N’acceptant aucune défaites, je suis probablement le membre le plus têtu et accroché à ses principes de la comptée de Clèves.

Je fis donc le grand voyage vers Cicéron, après le départ de mes cousins Honoré, Dorgan et Félix. Je n’eus aucun mal à rejoindre l’Empire, ayant prévu chaque parcelle de ma route longtemps à l’avance. Ce qui me permit donc d’éviter toutes mauvaises rencontres. Je m’y installe quelque temps, pour m’imprégner du savoir vivre des citoyens et afin de prendre plus ample connaissance du système juridique que la cité porte en son sein.



BG Gabrielle De Clèves:

C’est sur les fraîches et vallonnées terres de Clèves que ma mère m’a mise au monde il y a de cela 21 ans. Avec le recul, je pense et je sais au fond de moi que j’ai eu beaucoup de chance de naître dans cette contrée. Un entourage très proche, digne et amical, une famille soudée sans difficultés financières, comme la plupart des habitants de Clèves…Vraiment un fabuleux tour du destin.

C’est le destin qui m’a fait femme. Lorsque je suis arrivée à Cicéron, certains hommes se retournaient en voyant une femme combattre. Mais à Clèves il n’y avait rien d’exceptionnel à cela. En effet, dès ma treizième année, j’appris à manier épées et massues pour défendre moi et les miens. A Clèves les routes ne sont sûres que si on sait se battre et si on sait où ne pas aller… les routes sont souvent parsemées de bêtes féroces.

C’est grâce à cet enseignement des armes que je suis aujourd’hui une chasseuse de monstres. J’aime ce que je fais. J’ai toujours trouvé ça exaltant de parcourir les landes à pied, sentir ma masse battre au creux de mes reins pendant que je marchais à la recherche d’une nouvelle proie. Et lorsque enfin je trouve un opposant de taille, j’adore mettre en pratique ce que j’ai appris, j’adore me sentir en danger et mettre en danger mes adversaires.
Chasseuse de monstre est le plus beau métier que j’aurais pu faire et que je fais.

Mais lorsque mes frères Gylnor et Feralus et mes cousins ont du quitter Clèves, je les ai suivis quelques mois après, la vie ayant perdu un peu de son goût. J’ai pu recroiser Gylnor mais pas encore Feralus, qui, en tant que bûcheron, est très souvent dans les fôrets. Pour moi la famille est sacrée. Tout aussi sacrée que mes amis et l’Empire. Pour ces trois, je serais prête à mourir, même si je préfère les défendre tout en restant en vie.
Comme mon éducation me l’a appris, je suis loyale et le reste en toutes occasions. Le courage ne me fait pas défaut non plus.

Vraiment… je suis heureuse de ma vie.